“2021 aura été une année de mutation pour le GPIS”, estime Michaël Sibilleau, directeur général du groupement chargé de surveiller le parc social parisien.
Dans une interview à AEF info, il revient sur les conflits internes de ces derniers mois, imputables, selon lui, à “la mise à nu d’un système déviant à la tête duquel se trouvait un délégué syndical”. “Pratiquement 18 ans après sa naissance, le GPIS a fait sa crise de maturité”, analyse Michaël Sibilleau.
La structure “se prépare à présent à sa modernisation et à son développement”, en investissant 3,5 millions d’euros dans un système d’information innovant, une mise à neuf des locaux et de nouveaux équipements.
En 2022, le GPIS devrait également étendre son activité dans les trois départements de la petite couronne et créer une direction territoriale à Saint-Denis.
Certains agents seront en outre habilités à relever des infractions.
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Dépêche AEF info n°663103, par Marie Desrumaux, journaliste. Reproduite avec l’aimable autorisation de l’Agence de Presse AEF info.
